Le monde du numérique est en pleine croissance. Depuis un moment, c’est le growth hacking qui est à l’honneur. Les avis divergent entre buzzword ou une tactique avérée que représente ce concept. Quoiqu’il en soit, de nombreuses startups s’y intéressent de plus en plus. Découvrez dans cet article tout ce que renferme le concept de growth hacking.
Définition du Growth hacking
Le growth hacking par définition le piratage de croissance représente une stratégie qui regroupe un ensemble de techniques marketing permettant de faire croître de manière rapide un business contrairement à l’inbound marketing. Autrement dit, l’objectif du growth hacking est d’utiliser le minimum de ressources possible pour obtenir coûte que coûte une croissance exponentielle du chiffre d’affaires d’une entreprise. Hormis l’augmentation du chiffre d’affaires, ce concept est également utilisé pour gagner en notoriété. C’est un allié du marketing digital et surtout un état d’esprit. Sont ainsi né les growth hackers spécialistes dans la mise en place de la stratégie que représente le growth hacking comme le précise son inventeur, Sean Ellis.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, il n’existe pas d’établissement pour devenir growth hackers. Ces derniers sont des autodidactes qui agissent en fonction du contexte et de leurs connaissances. Leur rôle consiste en l’acquisition de trafic qui génère des conversations et donc du chiffre d’affaires par l’optimisation du tunnel de conversion. Cette stratégie marketing est très utilisée pour grandir une audience sur les réseaux sociaux. Pour s’y prendre, le growth hacker se sert des hacks, autrement dit des données permettant la création d’expérience et l’évaluation des résultats qui serviront ensuite à ajuster la stratégie marketing. Les résultats à atteindre doivent concourir à l’automatisation des leviers de croissance. L’ensemble de ces techniques est connu sous le nom de marketing automation.
Fonctionnement du growth hacking et exemples de techniques
Le growth hacker est cet individu qui se charge de la gestion de la croissance rapide d’une entreprise ou d’une start-up. Le growth hacker travaille généralement sur le web et dispose donc de compétences solides en référencement, en développement web et dans beaucoup d’autres domaines du net. La mise en place de cette stratégie passe par l’acquisition de certaines techniques de growth hacking et de hacks. Ainsi, pour générer la croissance envisagée, ces techniques doivent obligatoirement inciter les utilisateurs actifs et clients à devenir des ambassadeurs de la marque d’une entreprise ou d’une autre. Pour ce faire, le growth hacker se sert de divers outils tels que les metrics AARRR. Le premier A pour « acquisition » consiste à effectuer des tests sur les canaux d’acquisition d’audience sur le site internet d’une entreprise dans le but de se concentrer sur ayant un excellent fonctionnement. Le second A pour « activation » consiste à emmener le potentiel client à effectuer une première action.
Le premier R pour rétention se veut de faire connaître le site web au prospect et le fidéliser. Le second R pour revenus met en lumière la conversion du prospect en client. La dernière metric est la recommandation au niveau de laquelle les clients sont emmenés à élargir le trafic en parrainant de nouveaux utilisateurs. Les autres outils correspondent à quelques exemples d’actions toutes simples qui permettent de générer de la croissance. Dans un premier temps il s’agira de collecter les données des utilisateurs (e-mails) pour faire connaître un produit ou un service, mieux en appendre sur son audience via les statistiques réalisées sur google analytics. La présentation du produit ou du service doit être également intéressé le public cible et l’analyse des performances doit être effectuées continuellement.
